7 mars 2009
poème de Ludovic Janvier
«À supposer que les oiseaux se taisent toujours une branche craque au bord de l'écoute à supposer que le bois ne s'étire pastoujours on y devine une rumeur de vent à supposer qu'on n'entende plus le moindre souffledans le calme il y a toujours un bruit...