30 mai 2013
L'aube printanière Meng Haoran
L’aube printanière n’a pas éveillé le dormeur
De toutes parts bruissent des chants d'oiseaux.
Cette nuit, au son de la pluie et du vent,
Qui sait combien de fleurs sont tombées ?
Meng Haoran (689-740)
(version Mimi(k), d’après diverses traductions françaises et anglaises)
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M
A